DROITS DE L’HOMME
Par cette occasion, cette Ong a présenté son projet d’accompagnement des organisations de la société civile (Osc), qui luttent pour la cause des droits de l’Homme. C’est une initiative de l’Ambassade de France au Cameroun. La représentation française est appuyée dans son action civique par le Conseil pour le suivi des recommandations du dernier sommet Afrique-France (Conseil-Nsaf), du Réseau des jeunes féministes d’Afrique Centrale (Rejefemac) et le Conseil national de la jeunesse du Cameroun (Cnjc).
Jeudi dernier à Yaoundé, le FSPI a présenté son projet de financement des organisations de la société civile (Osc) qui œuvrent pour la protection et la promotion des droits de l’Homme au Cameroun. Un instrument financier du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères qui permet aux ambassades de mener sur le terrain des actions innovantes à impact rapide et fortement visibles au bénéfice des populations locales. C’était lors d’une conférence de presse où plusieurs acteurs des libertés humaines ont signé des conventions de projets.
Domaines privilégiés
Ces organisations de la société civile, bénéficiaires, sont jeunes en termes de création, car elles existent depuis au moins 05 ans, n’ayant reçu aucun financement de la part de la France dans le passé, elles sont au centre de toutes les attentions.
Selon les exposants à cette circonstance, les domaines concernés par les activités de ces organisations sont entre autres: la démocratie, les droits humains, la culture, l’éducation. Pour une meilleure coopération entre la France et ses partenaires, le FSPI cherche à promouvoir un environnement propice à la protection et au respect des droits fondamentaux de tous les citoyens camerounais.
Au terme de cette conférence, les participants pouvaient manifester leurs désirs de formation. Les candidats retenus bénéficieront d’une formation sur les normes internationales des droits humains, sur le renforcement des capacités des organisations de la société civile, sur le soutien aux initiatives de plaidoyer, la sensibilisation du public, la documentation sur des violations des droits humains et l’assistance juridique aux victimes.